mercredi 30 mars 2011

Mae Chee Sansanee - Une nonne bouddhiste : des paroles de paix

Une nonne bouddhiste, Mae Chee Sansanee, est la Coprésidente du mouvement  the Global Peace Initiative of Women et la fondatrice de la communauté d’étude pour les femmes enceintes, Sathira Dhammasatan à Bangkok. Elle a délivré son message de paix et de purification de l’esprit au cours de sa première visite en Malaisie




mardi 29 mars 2011

Une meditation pour la paix au Sri Lanka

The meditation that can end a war by Joanna Macy 2002

When I recently heard about the plan to bring a half million people together for a peace meditation, I dropped everything and traveled to Sri Lanka to participate. I didn't go only to show solidarity with my beloved Sarvodaya movement but also for my own benefit. Because of the ongoing violence in the world, including my country's 'war on terrorism,' I longed to see a saner dimension of the human spirit.

I needed a hit of peace just like I need oxygen……
The spiralling violence of military offenses and suicide bombings cost 65,000 lives, traumatized a whole generation, and wrecked the Sri Lankan economy. Sarvodaya, which had worked with both sides in the civil war, ran refugee camps and restoration and rehabilitation projects. A couple of years ago, when hopes for peace were at a nadir, Ani decided to emphasize what he called 'changing the psycho-sphere': he started organizing peace meditations. When my husband and I visited Sri Lanka in the winter of 2001, the first of these had just been held in Colombo, drawing 170000 people to meditate for peace. Others were held around the country as well.
By last December, the psycho-sphere had changed enough to allow Ranil Wickremesingle to be elected prime minister, with a mandate to negotiate peace. By February, a cease-fire between the government and the Tamil Tigers was brokered by Norway. Immediately thereafter, in order to give the cease-fire a solid chance, Sarvodaya announced a mega peace meditation, Maha Shanti Samadhi Day. It called for a gathering of half a million people at Anuradhapura, the sacred royal city in the north central part of the island, near the areas of the worst fighting.

I arrived at Anuradhapuna on the day of the meditation. The sacred site, probably half a mile in diameter, contains several great stupas and the world's most ancient bodhi tree, which is said to have grown from a cutting taken from the tree that sheltered the Buddha during his enlightenment and brought to Sri Lanka by the great Indian king Asoka's daughter, Sakyaditta. When I got there, people were streaming in from all directions. In the tradition of these events, everyone was dressed in white and moving in silence. They had arrived from all over the country on foot and via trains, bicycles and, according to one person's count, four thousand buses…….

The meditation ceremony took place at 3:00 P.M. Members of the clergy of all the religions of Sri Lanka were gathered on a platform,and each said a few words. In front of them on a slightly lower stage, surrounded by flowers, was Ani. After the spoken prayers, he began to lead us all in anapanasati, mindfulness of breathing in and breathing out.

The silence was the most exquisite sound I've ever heard. It was the sound of half a million people (actually the number turned out to be 650,000) being quiet together in the biggest meditation ever held on planet Earth.
After a period of anapanasati, Ani led a metta meditation guiding us into lovingkindness. It was followed by a practice that l always associate with Ani, not having learned from anyone else. This was adhistana or settling into firm resolve. Ani does the practice every morning making the firm resolve to establish peace.

What moved me most of all was a ceremony held just before the massive meditation itself. In the sacred compound around the bodhi tree, a smaller group of fifty to one hundred gathered to inaugurate the village-to-village 'link-up program' Sarvodaya is organizing. A thousand villages selected from the Tamil area are paired, one to one, with a thousand villages in the Sinhalese area; people from the latter, less devastated villages will go to the villages in the more devastated areas and help them rebuild. I heard about one village that had received advance notice of the program and overnight had loaded two lorries with roofing materials and were ready to go………

I want you to know that the peace meditations and the link-up program are both part of a larger Sarvodaya vision called the Five Hundred Year Peace Plan. When I heard about the plan and how serious the Sarvodayans are about it, I could actually feel a sense of release in my chest. I suddenly realized, 'Oh, of course. We don't have to do it all in one year, or even one lifetime.' This five hundred year peace plan acknowledges the long, hard path to true peace and sets forth concrete steps along that path……..

Source Extrait: Bouddhisme au feminin No 1

dimanche 27 mars 2011

Une femme pour la paix- Amma

Sri Mata Amritanandamayi Devi

Amma est née le 27 septembre 1953, dans un petit village de pêcheurs d'Inde occidentale, dans l'état du Kerala, sous le

nom de Amma Sudhamani (qui signifie "pur joyau" dans la langue locale).

Toute petite, elle est déjà très religieuse. Le spectacle de la cruauté et de l'égoïsme du monde, de la douleur et de la souffrance qu'il entraîne, ne fait qu'accroître son amour pour Dieu et son désir de Le réaliser.
Lorsqu'elle parvient à l'adolescence, son amour pour le Divin ne fait que croître. Elle reste souvent plongée en samadhi (profonde méditation) pendant des heures et parfois des jours, sans manifester le moindre signe de conscience extérieure. Elle finit par réaliser l'Absolu sans forme et sans attribut, autrement dit le Brahman en terminologie hindou, sa Nature de Bouddha en terminologie bouddhiste et Dieu en terminologie chrétienne.

En 36 ans, Amma a pris dans ses bras et étreint plus de 26 millions de personnes, issues de toutes les parties du monde.

Quand on lui demande quelle est sa religion, elle répond que c'est l'Amour. Elle ne demande à personne de croire en Dieu ni de changer de religion ; elle nous demande simplement de chercher à connaître notre nature réelle et d'avoir foi en nous-mêmes."

L'amour est notre véritable essence. L'amour ne connaît pas de frontières de caste, de religion, de race ou de nationalité. Nous sommes tous des perles enfilées sur le même fil de l'amour. "

Amma répand son amour infini sur tous, sans se préoccuper de leurs croyances, de ce qu'ils sont ni de la raison qui les a amenés à elle. Son dévouement inlassable au service d'autrui est à l'origine de la création d'un vaste réseau d'activités caritatives grâce auquel les gens découvrent la beauté et la paix que l'on retire du service désintéressé.

En 2002, elle a reçu le prix Gandhi de la non-violence et de la paix, après Nelson Mandela et Kofi Annan, au Palais des Nations Unies de Genève. En 2003, 2 millions de personnes, dont le président de l'Inde, ont célébré son 50ème anniversaire. Amma a donné un Darshan-marathon de plus de 20 heures, pendant lesquelles elle a étreint 45.000 personnes.

samedi 26 mars 2011

Six cent femmes pour la paix


Six cent femmes pour la paix : en octobre 2002 à Genève, six cent femmes exceptionnelles, venues de tous les horizons culturels et religieux se sont réunies pour trouver des moyens d'action en vue de faire avancer la paix dans le monde.

Six cents femmes et une poignée d'hommes ont participé à «l'Initiative pour la paix globale des femmes leaders religieuses et spirituelles». Une «initiative» qui avait été décidée lors du Sommet de la paix du Millenium, organisé en août 2000 au siège des Nations unies, à New York. Elle a été relayée par un comité multi religieux présidé par l'Américaine Dena Merriam, un petit bout de femme mue par une indéfectible foi, d'une part en la capacité des femmes à faire bouger les choses sur notre planète, d'autre part en la capacité des religions à faire prévaloir leur visage de paix, détourné par certains au profit de la haine.


à droite Dena Merriam

Entre le siège genevois des Nations unies, pour la séance inaugurale, l'hôtel Beau-Rivage et le Jardin anglais des bords du lac Leman (où se tenaient les ateliers et les animations), ce sont deux visages de la planète religieuse qui dans un premier temps se sont côtoyés, avant de se découvrir puis, très vite, de se mélanger. D'un côté il y avait le groupe des « spirituelles », dont la figure emblématique fut, sans conteste, Amma (voir AR n035 février 2002), la "Mère universelle" de son vrai nom Sri Mata Amritanandamayi Devi, venue avec une centaine d'adeptes, tout de blanc vêtus et qui a reçu, à cette Occasion, le prix Gandhi 2002 pour la non-violence. Mais, à vrai dire, aucune tradition, aucune sphère culturelle, ne détenait le monopole de la spiritualité. Il suffisait de scruter les visages de tous les participants (les quelques hommes présents nous contraignent à l'emploi du masculin ?) à la journée de méditation du 6 octobre pour s'en convaincre. Un exemple parmi des centaines d'autres ? Celui de Sharifa Alkhateeb, présidente du Conseil nord-américain des femmes musulmanes, les yeux clos, le visage baigné de larmes, répétant tour à tour des mantras bouddhistes ou hindous, des prières soufis, chrétiennes ou zoroastriennes, des incantations chamaniques, africaines ou amérindiennes. "Dieu est partout présent", nous confiera-t-elle plus tard, en réajustant son voile sous la pluie.


Dans le jardin anglais, une figure pour la paix
De l'autre côté se trouvaient les femmes d'action. Celles qui ont décidé de mettre leur foi au service d'une cause, de concrétiser leurs croyances, de se mêler de politique, d'action sociale, d'écologie, d'éthique, bref, de passer à l'acte. Celles-ci étaient menées tambour battant par une maîtresse femme venue des Etats-Unis : la révérende Joan Brown Campbell, ancienne secrétaire générale du Conseil national des Eglises des Etats-Unis et première femme à détenir des fonctions aussi élevées dans cet organisme. Ne dites surtout pas à la révérende que cette « Initiative », qu'elle copréside, pourrait se solder par une simple déclaration de bonnes intentions : « Toutes les grandes luttes ont commencé par des discours qui rassemblaient quelques dizaines, puis quelques centaines, et enfin des milliers, des millions de personnes, s'exclame-t-elle ! Et, si nous sommes là, c'est parce que nous sommes déterminées à agir sur tous les fronts. Nous nous donnons quelques jours pour puiser chacune un grand bol de courages Notre première initiative est dé1à décidée : envoyer une délégation de négociatrices en Irak, pour éviter une guerre. Nous échouerons ? C'est possible, mais nous récidiverons partout où le devoir nous appelle. »

On croit volontiers la révérende quand, au hasard d'un atelier, on croise Tenzin Sonam Nawanj. Le crâne rasé, toute menue dans sa robe safran, elle se débat au milieu de chiffres, de noms, de rendez-vous. Venue tout droit de Dharamsala, la plus tibétaine des villes indiennes, cette moniale est tout entière à ce qu'elle appelle joliment sa «nonnerie», un institut de formation de nonnes bouddhistes qui accueille actuellement six cents femmes, et qui manque un peu de tout. Tenzîn semble farouche : elle est pourtant d'une détermination sans failles. Ce qu'elle retiendra de ces journées ? Les contacts établis, bien sûr. Cette énergie qu'elle sent vibrer partout et qui se concrétise si vite. Et puis aussi, avoue-t-elle l'oeil malicieux, sa rencontre avec les traditions religieuses de l'Inde. «Là-bas, nous n'avons pas l'occasion de frayer ensemble. Ici, c'est magique! Nous avons d'ailleurs échangé nos adresses... »

Genève, ville neutre par excellence, a donc servi de lieu de rencontre à ces deux conceptions du religieux. Le résultat fut un étrange pique-nique dans le Jardin anglais, au bord du lac, aux sons des tambours traditionnellement consacrés à la purification de l'esprit. Sur les pelouses, chacune en costume traditionnel, des centaines de responsables de toutes les traditions religieuses et spirituelles picoraient leurs paniers-repas. Leurs conversations allaient de l'échange de recettes de cuisine à celui de techniques de méditation, ou encore d'ébauches d'idées pour des actions sur le terrain. Et là, toutes les barrières étaient abolies...

Source: Bouddhisme au Féminin 2005

mercredi 16 mars 2011

Sakyadhita: Une association internationale des femmes bouddhistes


Sakyadhita signifie « les filles du clan des Sakya », en fait les filles du Bouddha Sakyamuni.

Depuis 1987, Sakyadhita: Association internationale de femmes bouddhistes travaille au profit des femmes bouddhistes du monde entier. Créée à la fin de la 1ère Conférence Sakyadhita à Bodhgaya, en Inde, en 1987, sous l’hospice de SS le Dalaï lama, l'organisation compte désormais près de 2000 membres et amis dans 45 pays à travers le monde. Tous les deux ans une conférence internationale est organisée afin de permettre aux laïques et aux nonnes de différents pays et traditions bouddhiques de mieux se connaitre et de partager leurs expériences

La 10e Conférence internationale de Sakyadhita s'est tenue à Oulan-Bator, en Mongolie en 2008. La onzième a été organisée fin 2009, à Hô Chi Minh-Ville, Vietnam, la prochaine se déroulera du 12 au 18 juin 2011 à Bangkok en Thaïlande.

Des branches nationales de Sakyadhita ont été créées dans de nombreux pays, permettant l’émergence d’un réseau international et local de femmes bouddhistes. Ce réseau est à l’origine de projets visant à améliorer les conditions des femmes bouddhistes, en particulier dans les pays en développement. Une série de publications a pour objectif de rétablir l'histoire des femmes bouddhistes, de documenter leurs vies et de faire connaître leurs réalisations spirituelles. Ensemble, les femmes bouddhistes coopèrent pour réaliser leur énorme potentiel de transformation sociale et spirituelle.


L’association soutient les initiatives de femmes bouddhistes pour créer des projets d'éducation, des centres de retraite et de formation, pour organiser des conférences locales et animer des groupes de discussion. Les membres s'efforcent de créer l'égalité des chances pour les femmes dans toutes les traditions bouddhistes. L'objectif est de permettre aux 300 millions de femmes bouddhistes dans le monde de mieux connaître la voie du Bouddha, de prendre confiance en leurs capacités de réalisation spirituelle et d’oeuvrer pour la paix et la justice sociale.

Bien que le Bouddha lui-même ait conféré la pleine ordination aux femmes, celle-ci n'est malheureusement pas reconnue partout. C’est l’un des objectifs de Sakyadhita international que de tout mettre en œuvre pour que les femmes bouddhistes qui souhaitent prendre la robe monastique puissent, quelle que soit leur tradition, bénéficier de la pleine ordination au même titre que les moines.

C’est en 2006 que l’Association Sakyadhita France enregistrée au Tribunal d’Instance de Strasbourg, a été fondée par Gabriela Frey avec un groupe de femmes et d’hommes de diverses traditions bouddhistes souhaitant œuvrer en commun.


Sakyadhita France forme le vœu que les contributions réalisées par les femmes bouddhistes au travers de leurs enseignements et de leurs écrits, soient diffusées au plus grand nombre.

Depuis l’origine, les femmes ont trouvé dans les pratiques bouddhistes une profonde force d’inspiration qui leur a permis de réaliser l’illumination et bien souvent de transmettre leurs expériences de manière non conventionnelle.

Sakyadhita France souhaite pouvoir d'une part rassembler et assurer la conservation de ces expériences de femmes dans l'optique de la promotion d'un monde de paix et de spiritualité, et d'autre part porter ces expériences à la connaissance du public, afin que chacune y trouve inspiration et courage sur son chemin…..

Source : Sakyadhita France

mercredi 9 mars 2011

Sakyadhita : les filles du Bouddha Sakyamuni

Sakyamuni : titre que l'on a donné au Bouddha qui signifie en sanscrit : Le Silencieux (Muni) du clan des Sakya

A rainbow of robes; nuns and buddhist women from all Buddhist traditions of our world are meeting at the end of 2009 in Vietnam at the 11th Sakyadhita International Conference.




Theravada nuns in Thai robes (orange) and Vietnamese robes (pink) with Vietnamese Mahayana nuns, wearing the grey robes

Sakyadhita, meaning "Daughters of the Buddha" is now in it's 21st year, and has done so much to advance the dialogue, education and opportunity of Buddhist women of all traditions. I was particularly inspired tonight to hear that there are now 800 Bikshuni in Sri Lanka. At the time of the inception of Sakyadhita, 20 years ago, there were none, and the government forbade any mention of the word "Bikshuni" at a conference for nuns in Sri Lanka!
Also, in Thailand, the Bikshuni sangha has grown in the last 9 years to eighteen, despite no support from the patriarchy of the Bhiskhu sangha.


Jetsunma Tenzin Palmo speaks with some nuns from Vietnam
The experience of spending the last 2 days with so many sisters is beyond words. Perhaps I'm a bit of a novelty as I'm one of a dozen or so western nuns attending this conference, so I am an easy target. There are 1500+ nuns and Buddhist women from Theravada, Mahayana and Vajrayana traditions and many are constantly approaching me to show affection. There is such a strong sense of sisterhood, leagues beyond any boundaries of race, religion or culture. Instead, it expresses an openness, a tolerance, a joy of sharing a faith which, through each of us, is traced back to the time of the Buddha and Mahaprajapati, the Buddha's stepmother, who was the first women to go forth, along with the 500 women who journeyed with her to Vaisali.

With 2700 participants (240 of whom are International delegates from countries including UK, USA, France, Germany, Czech Republic, Holland, Mongolia, India, Tibet, Nepal, Burma, Taiwan, Thailand, Indonesia, Korea, Sri Lanka, China, Japan and Australia) and 5 more days to hear notable speakers talk on topics such as 'Socially Engaged Buddhist Women', 'Living Simply, Protecting the Environment', Buddhist Women and Leadership' and 'Buddhist Education Across Cultures', along with many engaging and interactive workshops, this conference will surely be an exceptional experience.

I am so grateful to have the opportunity to be here, and to have my eyes and heart continuously opened more and more!

Source : Rigpa Vihara: Daughters of the Buddha

mercredi 2 mars 2011

Venerable Karma Lekshe Tsomo

La Vénérable Karma Lekshe Tsomo enseigne le bouddhisme et les religions du monde à l’université de San Diego.


Elle est une nonne américaine pleinement ordonnée pratiquant la tradition tibétaine.


Elle est présidente de Sakyadhita: une association internationale de femmes bouddhistes et a aidé à organiser des conférences nationales et internationales de Sakyadhita depuis 1987. Elle a contribué à l’élaboration de huit programmes d’éducation destinés aux femmes vivant dans l’Inde himalayenne.


Elle souligne que "L'ordination est une opportunité que peu de femmes vont choisir, mais l'accès à une complète ordination est symbolique de quelque chose de beaucoup plus large. Si les femmes sont des novices à vie, sans aucun espoir d'accéder à une ordination complète, elles peuvent être d'excellentes pratiquantes, mais psychologiquement, elles seront appesanties par l'idée erronée que de toutes façons, elles ne sont pas assez bonnes.


Si les moines sont révérés dans un pays, parce qu'ils appartiennent à la Sangha, mais qu'il n'y a aucune femme dans la Sangha, ceci envoie le message que les femmes sont d'une façon ou d'une autre inadéquates. Elles ne sont pas marginalisées, elles ne figurent tout simplement pas dans le tableau....

Source : Bouddhisme au feminin


Bhikshuni Jampa Tsedroen


Bhikshuni Jampa Tsedroen (Carola Roloff) qui est une élève de Geshe Thubten Ngawang, assure la fonction de traductrice et d’enseignante au Centre tibétain de Hambourg, plus particulièrement dans le cadre du cursus systématique de 7 années, que doivent suivre les étudiants dans le domaine du bouddhisme.

Pendant plusieurs années, elle a également assuré la direction du Centre de Hambourg. A l'heure actuelle, elle est doctorante à l'Université de Hambourg (Tibétologie). Membre du «Committee of Western Buddhist Nuns» ainsi que du «Bhikkhuni Ordination Committee» du Ministère pour la Culture et la Religion du Gouvernement tibétain en exil, Bhikshuni Jampa Tsedroen est co-fondatrice de Sakyadhita International (Bodhgaya 1987) et de Sakyadhita Europe (antérieurement Sakyadhita Germany)…..

Bhikshuni Jampa Tsedroen a reçu le Prix «Outstanding Women in Buddhism» au Centre de Conférences des Nations Unies à Bangkok (Thaïlande).

Interview with Jampa Tsedroen